Cela faisait sept ans que je n'avais pas mis les pieds au Maroc. Pas la Maroc des momoccidentales, des touristes. Pas Agadir, non, Dar El Beida et ses quartiers populaires.



Le Maroc de la vrai vie. Un pays plein de paradoxes, proche du moyen age et pourtant envahit par les cyber-kawah et les paraboles.


Même si Casablanca est une grande ville, elle ressemble plutot à un ensemble de villages se suivant sans interruptions. Les villas y cotoient les bidonvilles. Cette ville est le choc frontal entre traditions et modernismes, entre ruralité et urbanismes.



Des charettes tirées par des anes se partagent la route avec d'antiques renault (4L, R12, R21 etc...) et des mercedes derniers cris.
Des marchands de legumes, sur des charettes issues tout droit des milles et une nuit répondent aux appels des téléphones portables dernier cri.