Monsieur le chieur a décidé de rendre son blog accessible a des utilisateurs choisis par lui. Voici le dernier billet accessible du dit blog :


Zavez vos papiers ?

from Chronique de la dèche by M. LeChieur

Ayé, j'ai trouvé la solution pour ne pas fermer mon bloug : l'accès par mot de passe.

A partir de 18 heures aujourd'hui 9 heures demain, ceci ne sera plus un espace public. Si ça vous branche, vous pouvez toujours m'envoyer un mail pour obtenir un identifiant et un mot de passe. Sinon, ravi d'avoir passé ces quelques années en votre compagnie.

(Les annexes ne font pas partie des nouvelles restrictions)

Edit 1. Comme je suis encore plus chiant que ça, je m'autorise à ne pas répondre aux adresses en hotmail, ni à celles en no-log, par exemple.

Edit 2. J'ai prolongé le délai à cause des observations de Kozlika. Je n'avais pas pensé aux gens qui n'utilisent pas un agrégateur en ligne, pardon ! :-) (ni aux gens qui n'utilisent pas d'agrégateur du tout, d'ailleurs... Bon, ça va, chuis juste un peu mort de fatigue, alors le neurone a du mal à suivre, quoi...)




A priori chacun fait ce qui lui plait avec son blog.
J'ai demandé au chieur un identifiant et un mot de passe car j'aime sa prose. Ce type a du talent, qu'on se le dise.

Seulement voila, je suis aussi de la race des chieurs. Ce genre d'attitude m'agace au plus au point.
J'ai toujours eu horreur des accès VIP. des clubs privés et autres accès élitistes.
Je suis pour le partage, je suis un extrémiste du partage, et je n'accepte pas l'idée de vouloir réserver a quelques initiés l'accès à certaines choses. Ça rappelle trop l'attitude de l'Eglise pendant des siecles, celle des élites financières etc...
Et puis je trouve la notion de "blog privé" incohérente. Pourquoi blogger, payer un hébergement etc... alors qu'il suffirait d'envoyer ses textes gratos par mail a une série d'élus dont on aurait au préalable récupérer les adresses.

Donc je n'utiliserais pas mon accès VIP. C'est contre mes principes (eh oui, j'en ai !). Tant pis pour le chieur, c'est dommage de garder ainsi son talent sous le boisseau.