jeudi 6 septembre 2007
Feodalia
Par Michel CATELIN, jeudi 6 septembre 2007 à 22:07 :: nausées
La France est encore un pays féodal, quoi qu'on en dise.
Notre bon roi Nicolas, issue de la nouvelle noblesse, celle du fric, de l'argent facile, de la reussite sociale clinquante, aime bien diriger ses seigneurs, duc et barons du parti ou venu d'autres alliance connues de lui seul.
Le bon peuple aime bien quand à lui, les hommes forts, éclairés certes, mais tyrans tout de même.
Les sangs bleus, occupent le pouvoir comme certains pairs de France du 19e siècle. il suffit de relire Balzac et Zola et comparer l'époque avec la notre pour s'en convaincre. Ces hommes et femmes de pouvoir font profiter leurs amis, connaissances et alliés, des miettes de leur repas d'orgueil, tout en ne se souciant guère du SDF qui dort sur les bords du périphérique. (il avait qu'a faire plus attention à lui le bougre, mince ! il aurait put bosser plutot que de dormir !)
Les élites, comme au siècle des lumières sont éclairé par le "noble sentiment" d'appartenir a la fine fleur de l'humanité et surtout a la grande famille des élus par la voie du sang. Aller donc faire un tour dans les grandes écoles pour y décompter les fils d'ouvrier...Il ne sont guère nombreux, même en notre époque bénies des dieu du pèze et de l'oseille réunis.
La populace fait ce qu'elle peut pour survivre a l'ombre de ses héros, elle se nourris de point de vue image du monde, Hola! et autre voici. Faut bien réver, non ?
Elle vénèrent le bon vieux temps avec ses tyrans qui tel Napoléon ont mis l'Europe et le monde à feu et à sang pour donner de l'air à la patrie, (et surtout pour occuper les masses de bouches à nourrir. Un soldat mort au combat coûte moins cher au pays qu'un chômeur, râleur et affamés.)
Certains se prennent a rêver de patriotisme exacerbé derrière un grand homme des médias (enfin... grand ... par la geule), un type capable d'épurer les chiffres désastreux de l'emploi et de la croissance à grand coups de réforme des acquis sociaux. C'est vrai quoi, y'a pas de raison que seuls les pauvres en profite dans ce pays !
"rien de tel qu'un bonne guerre pour relancer l'économie d'un pays" pensent déjà tout haut des hommes d'état au pouvoir de plus en plus contesté, mais à la bourse bien alimentée par leurs petits copains vendeurs d'armes, ou de rèves cadencés par les lendemains qui déchantent.
On va dire que j'exagère, que je ne connais rien a l'histoire, que la France est un grand pays de démocratie, etc etc.
Mais regardez y de plus près, on a un pays qui élit monsieur Plus a sa plus haute fonction, comme un regret de ses grand rois.
Un président qui se prend lui même pour un certain roi soleil. Un président qui pense que l'état c'est lui.
On a un certain nombre de membre des élites sociales qui reçoivent des cadeaux fiscaux.
On a des étrangers désignés de plus en plus ouvertement comme les ennemis de la France
Et puis, une paupérisation de plus en plus importante des classes ouvrières, pendant que les élites s'enrichissent.
Ça vous rappelle pas certaines périodes de notre histoire, ou le peuple ne pouvait que se taire ou espérer a l'ombre des chateaux de ses seigneurs féodaux.
Notre bon roi Nicolas, issue de la nouvelle noblesse, celle du fric, de l'argent facile, de la reussite sociale clinquante, aime bien diriger ses seigneurs, duc et barons du parti ou venu d'autres alliance connues de lui seul.
Le bon peuple aime bien quand à lui, les hommes forts, éclairés certes, mais tyrans tout de même.
Les sangs bleus, occupent le pouvoir comme certains pairs de France du 19e siècle. il suffit de relire Balzac et Zola et comparer l'époque avec la notre pour s'en convaincre. Ces hommes et femmes de pouvoir font profiter leurs amis, connaissances et alliés, des miettes de leur repas d'orgueil, tout en ne se souciant guère du SDF qui dort sur les bords du périphérique. (il avait qu'a faire plus attention à lui le bougre, mince ! il aurait put bosser plutot que de dormir !)
Les élites, comme au siècle des lumières sont éclairé par le "noble sentiment" d'appartenir a la fine fleur de l'humanité et surtout a la grande famille des élus par la voie du sang. Aller donc faire un tour dans les grandes écoles pour y décompter les fils d'ouvrier...Il ne sont guère nombreux, même en notre époque bénies des dieu du pèze et de l'oseille réunis.
La populace fait ce qu'elle peut pour survivre a l'ombre de ses héros, elle se nourris de point de vue image du monde, Hola! et autre voici. Faut bien réver, non ?
Elle vénèrent le bon vieux temps avec ses tyrans qui tel Napoléon ont mis l'Europe et le monde à feu et à sang pour donner de l'air à la patrie, (et surtout pour occuper les masses de bouches à nourrir. Un soldat mort au combat coûte moins cher au pays qu'un chômeur, râleur et affamés.)
Certains se prennent a rêver de patriotisme exacerbé derrière un grand homme des médias (enfin... grand ... par la geule), un type capable d'épurer les chiffres désastreux de l'emploi et de la croissance à grand coups de réforme des acquis sociaux. C'est vrai quoi, y'a pas de raison que seuls les pauvres en profite dans ce pays !
"rien de tel qu'un bonne guerre pour relancer l'économie d'un pays" pensent déjà tout haut des hommes d'état au pouvoir de plus en plus contesté, mais à la bourse bien alimentée par leurs petits copains vendeurs d'armes, ou de rèves cadencés par les lendemains qui déchantent.
On va dire que j'exagère, que je ne connais rien a l'histoire, que la France est un grand pays de démocratie, etc etc.
Mais regardez y de plus près, on a un pays qui élit monsieur Plus a sa plus haute fonction, comme un regret de ses grand rois.
Un président qui se prend lui même pour un certain roi soleil. Un président qui pense que l'état c'est lui.
On a un certain nombre de membre des élites sociales qui reçoivent des cadeaux fiscaux.
On a des étrangers désignés de plus en plus ouvertement comme les ennemis de la France
Et puis, une paupérisation de plus en plus importante des classes ouvrières, pendant que les élites s'enrichissent.
Ça vous rappelle pas certaines périodes de notre histoire, ou le peuple ne pouvait que se taire ou espérer a l'ombre des chateaux de ses seigneurs féodaux.